In memoriam François Sidos

(07/09/2019)

C’est par le sacrifice du père et l’engagement des cinq frères que le nom de Sidos impose le respect. François était l’un de ces frères : Combattant dans la Marine nationale entre 1940 et 1945, à Jeune Nation dont il fut un des fondateurs et dirigeant, puis à Europe Action, à l’Oeuvre française et au Front national, il a toujours été à l’avant-garde.
Ses funérailles ont été célébrées à Tours le 7/09/2019.

Jeune nation

Robert Brasillach – Les captifs

2019, Edtions Pardés, 262 pages.

Après la défaite de juin 1940, Robert Brasillach est fait prisonnier lors de l’encerclement de la IIIe armée. D’abord à Neuf-Brisach, puis dans les camps allemands de Warburg et Soest, il entreprend la rédaction d’un roman, qu’il intitule Les Captifs. Libéré le 31 mars 1941, il reprend son manuscrit durant l’été de cette même année, mais l’abandonne définitivement.

C’est donc un roman inachevé que nous lisons aujourd’hui sous le titre Les Captifs : trois cents pages manuscrites, la moitié de ce que Robert Brasillach avait prévu d’écrire. En 1940, à cause de son âge (il a trente et un ans), et parce que la défaite et l’emprisonnement sont deux violentes ruptures avec le passé immédiat, l’écrivain fait de son roman une œuvre de récapitulation : à travers des personnages nombreux, bien individualisés, vivants, il rassemble ce qu’il a espéré, détesté, admiré, aimé surtout, pendant sa jeunesse, désormais révolue.

Les Captifs révèlent aussi une ambition nouvelle : construire un ensemble romanesque dont le lecteur, pareil à celui de La Comédie humaine, retrouverait, d’un livre à l’autre, des créatures familières, immergées dans l’histoire contemporaine. Tous ces personnages sont soumis, chacun à sa manière, à la loi du temps et du vieillissement, qui a hanté Robert Brasillach.

Récapitulation, témoignage d’une ambition nouvelle, approfondissement d’une méditation sur le temps, Les Captifs, quoique inachevés, sont une œuvre foisonnante, qui atteste « le don de vie », indispensable au vrai romancier.

Commander à la Librairie nationale et identitaire

Yvan Benedetti (2019). J’ai juré de dire la vérité !

Éditions du Faisceau, 120 pages de texte sur papier bouffant et un cahier photo en couleur sur papier couché mat de 8 pages.

Le 25 avril dernier, j’étais convoqué en audition devant la Commission d’enquête parlementaire de lutte contre les groupuscules d’extrême droite constituée à l’initiative de la France insoumise et présidée par Muriel Ressiguier. Celle que les Languedociens surnomment Miss Goulag n’a pas fait honneur au nom de son parti, en laissant cette instance parlementaire qui visait à étudier tous les mouvements identitaires et nationalistes – y compris les milices juives alliées de Marine Le Pen avec lesquelles les mélenchonistes avaient eu maille à partir – passer sous le contrôle des sionistes. Je démontre comment l’homme de Netanyahou en France, Meyer Habib, un des terroristes condamnés pour l’attaque – à coups de barre de fer – du cortège en l’honneur de Sainte Jeanne d’Arc de 1988, au cours de laquelle j’avais été blessé, s’est, conjointement avec le rapporteur Morenas et la député Fajgeles, emparé de la Commission, écartant de son « périmètre » d’investigation le néo-FN des ultra-sionistes Collard et Le Pen et même retournant celle-ci contre la France insoumise qui l’avait initiée et qui s’est fi nalement retrouvée, lors des débats, accusée à mots à peine couverts d’antisémitisme en raison de son soutien aux Palestiniens…
Je dévoile ensuite l’intégralité du compte-rendu sténographique de mon audition, publié furtivement sur le site de l’Assemblée avant d’être censuré à la demande du Crif… Mes propos, rapportés dans ce verbatim, bien que tenus dans une enceinte qui, normalement, couvre de son immunité les déclarations des personnes auditionnées, sont aujourd’hui visés – au prétexte d’une remise en cause des dogmes de la religion shoatique – par une enquête préliminaire du Parquet de Paris.
Les Français vont désormais pouvoir juger sur pièces si, lors de cette audition, mes propos étaient si abjects que la presse le prétend aujourd’hui en n’en citant que de courts passages…
J’ajoute, puisque mon agenda judiciaire est plutôt chargé et que mon procès en appel pour le maintien de l’Œuvre française dissoute par Mañuel Valls s’est déroulé à la même période, quelques textes concernant cette affaire.

Extrait

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